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Le GIEC, entre « langue de coton » et « imaginaires en tension »
Il faut garder à l’esprit le fait que les rapports de synthèse du GIEC, et plus encore les résumés à l’intention des décideurs (on ne confondra pas ces textes avec les rapports de groupes), adoptent le langage subtil et prudent de la diplomatie, où les « périphrases peu signifiantes » abondent.
« L’utopie semble renaître, une utopie indexée sur le savoir […] et sur le bien-être »
Lire les rapports du GIEC donne parfois l’impression de se replonger dans La République de Platon ou les Lois de Cicéron, au sens où nous nous retrouvons aux prises avec ce qui ressemble à un projet de société : ce qu’on pourrait aussi qualifier d’utopie. D’où l’intérêt à les faire devenir eux-mêmes objet d’interrogation.
L’eau, un besoin vital pour les hommes : que peut le droit ?
Pendant longtemps, l’eau a été considérée trop facilement comme une ressource abondante, exploitable à l’infini. Alors que les tensions et les litiges risquent de se multiplier autour de cet « or bleu », il serait intéressant de voir ce que le droit nous dit sur cette problématique.
Lire les rapports du GIEC pour comprendre le monde qui s’annonce
Le Collège de France, sous la supervision du professeur Dario Mantovani, organise un cycle de lectures pédagogiques du rapport 2021-22 du GIEC. L’enjeu est de comprendre l’idée de société que le GIEC préconise, les valeurs sociétales et juridiques qui sont prises comme modèles.
L’équité au défi de la fin de l’abondance
Le 12 janvier 2023, Laurence Boisson de Chazournes a prononcé sa leçon inaugurale au Collège de France. Parmi les idées développées, elle présente notamment les relations entre égalité et équité dans le domaine des utilisations des ressources en eau transfrontières.
L’eau en droit international : entre singularité et pluralité
Le XXe siècle connaît une croissance démographique importante ainsi que des mutations économiques et sociales significatives. Les utilisations de l’eau vont, de fait, s’accroître et se diversifier. La réglementation se dessine alors au gré des usages.