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To meet more than the 20-year operational life of the mission, the full Meteosat Third Generation system comprises six satellites: four Imaging (MTG-I) satellites and two Sounding (MTG-S) satellites. This image features one MTG-I satellite (in the foreground) and one MTG-S satellite. When fully deployed, the system will include two MTG-I satellites operating in tandem – one scanning Europe and Africa every 10 minutes and the other only Europe but every 2.5 minutes – and one MTG-S satellite to provide local-area coverage over selected parts of Earth, with a repeat cycle of typically five minutes. The combination of MTG’s innovative instruments along with their increased resolution and sensitivity is set to take weather forecasting to the next level, particularly in the challenging task of early detection and prediction of rapidly evolving and potentially dangerous weather events such as severe thunderstorms. The MTG-I satellites carry a Flexible Combined Imager and a Lightning Imager. The MTG-S satellites carry an Infrared Sounder and the Copernicus Sentinel-4 instrument.

Au Collège de France,

Le 16 janvier 2025, à 10h00, dans l’amphithéâtre Maurice Halbwachs,

L’observation de la Terre par satellite a commencé quelques années après le lancement des premiers satellites artificiels. Les premiers instruments à bord de ces satellites visaient l’imagerie et permettaient essentiellement de visualiser les systèmes nuageux. Très vite, des instruments plus perfectionnés ont permis de mesurer la température et l’humidité de l’atmosphère visant à de meilleures prévisions météorologiques. Aujourd’hui, de très nombreux satellites contribuent à suivre des paramètres d’intérêt climatique, tels que la température, le niveau des mers, l’humidité des sols ou l’état de la végétation. On propose un tour d’horizon de la contribution de l’observation spatiale au suivi des processus climatiques et de l’évolution du climat.

Séminaire : Apport des observations spatiales pour le suivi du manteau neigeux et ses impacts (Simon Gascoin, chercheur au CNRS)