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Aujourd’hui

Cours : « Les dimensions individuelles et collectives de l’accès à l’eau « 

L’accès à l’eau est essentiel pour satisfaire les besoins domestiques et d’assainissement, ceux de santé et d’accès à la nourriture ou encore pour garantir le droit à la vie. Dans ce contexte, le droit international des droits de l’homme est de plus en plus sollicité pour asseoir les revendications d’accès à l’eau pour tout être humain et groupes d’individus (populations autochtones, minorités, populations locales).

Cours : « Eau, environnement et changements climatiques »

Le défi des changements climatiques avec ses nombreux impacts (inter alia, fonte des glaciers, sécheresse, inondations) souligne la nécessité d’une gestion durable de l’eau. Les instruments et actions doivent appréhender l’incertitude tout en palliant les risques.

Cours : « Barrages et autres ouvrages hydrauliques, entre tensions et coopération »

La question de la construction de barrages et autres ouvrages hydrauliques peut être source de tensions et de différends entre États riverains. Le droit international tente de les dissiper par des mesures de confiance reposant notamment sur la communication d’informations et des mesures de participation aux divers stades de la prise de décision et mise en œuvre des projets.

Cours : « Eau, conflits armés et crimes de droit international »

En temps de conflit armé, la protection de l’eau et l’accès à cette ressource doivent faire l’objet d’attention. Certaines règles de droit international humanitaire, des droits de l’homme, de droit de l’environnement ou des cours d’eau internationaux apportent leur contribution pour protéger cette ressource et permettre un accès à l’eau pour les populations concernées.

Conférence : « Le GIEC. La voix du climat »

Sur un ton de plus en plus insistant, la voix du GIEC se fait entendre partout. La légitimité de cette voix s’est construite dans le temps et au prix d’une forte institutionnalisation. Loin de la vision originale de ses fondateurs, qui l’avaient conçu en 1988 comme une structure informelle au service des décideurs, le GIEC réunit aujourd’hui des milliers de personnes, fait dialoguer scientifiques et diplomates au niveau international.

Conférence : « Principes, méthodes, résultats saillants et quelques pistes d’amélioration des rapports d’évaluation du GIEC »

Depuis 1990, date de son premier rapport, le GIEC fournit régulièrement des évaluations aussi complètes et objectives que possible des informations scientifiques concernant les bases physiques du changement climatique (WG1), ses impacts, la vulnérabilité et l'adaptation des systèmes socio-économiques et naturels (WG2), mais aussi des stratégies d'atténuation du changement climatique (WG3).